Balade dans le sidobre... (partie 1)

Le weekend dernier a été l'occasion d'une petite balade dans le sidobre, le point de départ fut : Burlats

Un jolie petit village, à l'histoire riche, comme en témoigne des vestiges architecturaux très intelligemment mis en valeur et librement accessibles.

Le premier monument que j'aperçu fut le pavillon Adélaide, un maison romande datant du XIIe siècle,

Selon la légende, Constance, fille du roi de France Louis VI serait venu s'y réfugier après sa répudiation par Raymond V,Comte de Toulouse, pour y donné naissance à sa fille Adélaïde. Plus tard Adélaïde y aurait alors fonder et présider une "cour d'amour"

Et comment ne pas s'arrêté sur les ruines de la collégiales Saint Pierre. Une première fois détruite 1573 suite à la prise de la ville par les protestants. Puis réaménagé pour un usage défensif, elle fut définitivement détruite en 1628 par les troupes catholiques du prince Condé.

Aujourd'hui elle abrite les bâtiments de la mairie, et un étonnant monument :  Le Rocher à Cupule.

Cette boule granitique fut utilisé comme borne de protection devant l'entré d'un entreprise, jusqu'à ce qu'un visiteur y découvre à la surface des cupule. Qui sont des petites cuvettes conique, de 1.5 à 4.5 cm de diamètre, creusé de main d'home avec un outils métallique et répartis selon un schéma encore mystérieux tout autour de c'est "oeuf" de 1.18m de diamètre pour un poids de 3 tonnes.

Ce rocher devenu monument à part entière est unique dans le Tarn.

Derrière la collégiale se trouve le château érigé au XIVe siècle a partir d'une tour romane du XIIe siècle, et aujourd'hui remanié en hôtel.

En le contournant nous suivons la rue des remparts qui nous amène vers la porte de la Bistoure, la seule des 4 (ou 5 portes) restantes, on peu y voir le début de la ceinture de rempart qui assurait la protection du village.

Comme ce fut le cas de nombreuse place forte à la même époque, les fortifications furent détruire sur ordre de Richelieu en 1631.

Ainsi s'achève la traversé du village, nous poursuivons alors notre route en remontant l'agoût ...

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